Possédant cette faculté particulière de pouvoir poser mon regard sur l’au-delà, j’utilise cette aptitude comme thérapie pour aider ceux qui sont dans la souffrance lors du départ d’un être cher.
Il faut donner des lettres de noblesse à ma profession, c’est ce que j’appelle « mon travail de colibri » : même si l’apport semble dérisoire, il faut pourtant témoigner et ainsi contribuer…
Pourquoi manifester autant d’intérêt pour les lointains mondes stellaires et si peu d’enthousiasme en ce qui concerne la connaissance du monde invisible dans lequel baigne tout l’univers ?
Peut-on en déduire que l’homme craint de le sonder car il a une peur viscérale de la mort, ce phénomène inéluctable, le seul qu’il ne peut nier ?